Abigail R. Parker
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Sujet: Set me free - ABIGAIL Ven 27 Fév - 15:58 |
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| Parker Abigail Rose 20 ans 15 Février 1988 |
_*Everyone leaves one dayI miss you Miss you so bad I don't forget you Oh it's so sad. I hope you can hear me I remember it clearly. The day you slipped away..... Was the day i found It, won't be the same
Assise seule, en face de la pierre tombale de papa, je me remémorer les événements passée à ses côtés. Tout semblait si facile quand il était là et aujourd'hui, plus rien ne sera comme avant. Une semaine. Voici le temps qui s'était écoulé depuis que Gabriel, de ses ailes, ai emmener papa avec lui. C'était le jour de mon anniversaire. Je fermai pendant quelques instants mes yeux et je revit ces moments dans mon esprit.
Il était vers les dix sept heures et cela faisait plus de deux heures que son père aurait du rentrer. Étant un avocat de renom, il a dut partir en voyage d'affaire à Los Angeles deux jours plus tôt et il avait promit à Amy de revenir pour son anniversaire. Seize ans ça ce fête et son père n'aurait manqué cela pour rien au monde. Les secondes dévièrent des minutes, les minutes des heures et toujours aucunes nouvelle de son père. Miss Parker commençait a s'inquiétait, surtout que son portable était éteint. Cela ne lui ressemblait pas et même si il aurait eu du retard, il aurait téléphoné a sa fille chérie pour la prévenir. Mais voilà, depuis maintenant plus de quatre heures, personne n'avait de nouvelle de lui. Assise sur le grand canapé blanc du salon, au lieu de se préparé pour la fête qui avait été organiser pour son anniversaire, la jeune fille jouait nerveusement avec son téléphone portable tandis qu'une grosse boule ce formait à son estomac et elle ne cessait de pensait que quelque chose de grave était arrivée a son père. Un bruit strident l'a sortie de ses pensées et ce n'est que lorsqu'Amy entendit la voix de sa mère retentir dans la cuisine qu'elle comprit que c'était la sonnerie du téléphone. Je bondit du canapé et accourut auprès de sa mère qui était comme sous le choc, des larmes ruisselant sur ses joues.
-Maman.....Maman. Qu'est-ce qui ce passe? C'était papa au téléphone? Terrifiée, la jeune Amy s'avançait vers Madame Parker qui ne voulait rien lui dire. -Maman, répond moi! Dis-je une octave plus haut que d'habitude. -C'es...c'est ton père..il a eu un...un...acci-accident....lança-t-elle avant de fondre en larme et de prendre Amy dans ses bras -Il est mort...réussit-elle a dire entre deux sanglot avant de pleurer de plus belle. Comme dans un état second, Amy ne fit rien que de restait immobile en ressassant ces mots que sa maman venait de prononcer. Tel une statue de marbre, aucune expression se lisait sur son visage et elle ne se rendit même pas compte que des larmes roulaient sur sa joues pour aller mourir a la commissure des ses lèvres.
J'ouvris de nouveau les yeux et j'observais le nom qui était gravé sur la pierre tombale, derrière une voile translucide d'eau salée. «David Geoffrey Parker» Je ne puis toujours pas croire qu'il n'était plus là. C'était tout simplement impensable. Mon père était encore a une de ses voyage d'affaire et il serait bientôt a la maison, rien de plus.
- Mais qu'est-ce qui te prends Aby? Tu sais très bien que papa est morte
To be continued......
Dernière édition par Abigail R. Parker le Jeu 23 Juil - 20:04, édité 2 fois
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Abigail R. Parker
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Sujet: Re: Set me free - ABIGAIL Ven 27 Fév - 15:59 |
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YOU, BEHIND THE SCREEN...
Pseudo/Prénom :Stéphanie Age :18 ans (bientôt 19) Exemple de poste :- Spoiler:
Le jardin de l'ange bleu |
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◙ CATALIN & ANGIE ◙
Le Centre Isolation... Cet endroit lui donnait la nausée. Rien qu'à l'odeur, on pourrait croire qu'on était dans une décharge publique ou autre lieu délabré depuis longtemps laissé à l'abandon. L'air empesté l'humidité, la rouille et de transpiration et à chaque bouffé d'air, Angie se sentit s'étouffait tant l'odeur était tenace. Les autres pensionnaires, eux, semblaient s'y être habituée à cela, car ils n'en avaient pas l'air de se soucier.. Des fois elle se surprenait même à penser que pour certains, cette odeur persistante se révélait être comme une délicieuse fragrance. Divagation pure est simple. L'asile pour jeunes délinquants qu'elle avait fréquenté depuis plus d'un an ressembler à un paradis à côté de cet endroit. C'est vrai qu'elle devait se taper deux fois par semaine des sérances chez le psy pour parler, encore et toujours, mais si elle avait le choix elle opterait sans hésiter pour l'asile qu'ici. En y repensant, l'air était bien meilleur dans la maison abandonnée dans laquelle elle avait pour habitude d'errer autrefois.....L'odeur qui persistait dans cette vieille baraque n'était autre que le renfermé et la poussière qui s'élevait dans l'air à chaque courant d'air qui s'infiltrer dans les quelques fentes dans les cloisons était bien mieux à tolérer que l'odeur nauséabonde qui tapisse chaque parcelle du centre. Elle en gardait d'ailleurs de bons souvenirs de cet endroit qui devint son refuge depuis l'âge de huit ans à peine. Mais toute chose a une fin et elle espérait au plus profond d'elle-même que cela serait le cas pour le Centre Isolation.
Une minute de plus à l'intérieur de ses quatre murs et elle mourrait. Cela faisait à peine une journée qu'elle était au centre qu'elle voulait déjà être très loin d'ici. À côté, la mort pouvait être bien plus douce et Angie se surprenait à envier sa sœur, alors que c'était toujours le contraire qui se produisait. Les rôles ont été inter changé et elle s'en voulait de ressentir ce sentiment de jalousie. Un peu d'air frais – si on puis dire - lui ferait du bien et qui sait, remettra de l'ordre dans son esprit. Lorsque finalement elle mit un pied à l'extérieur, une bourrasque de vent vint lui plaquer les cheveux en plein visage et ce fut avec la plus grande difficulté que la jeune fille les remit en place et tenta vainement de les lisser. Rien à faire, certaines mèches rebelles lui retomber sur le visage à chaque tentative de les plaquer en arrière. Un rapide regard jeter aux alentours suffit pour qu'elle prenne compte de chaque détail. Caché sous les mauvaises herbes, le gazon – ou du moins ce qu'il en reste - sous ses pieds avait jauni avec le temps, preuve de la négligence pour cet endroit qui, aux yeux du reste du monde, ne nécessite aucun entretien et l'intérieur du centre l'est tout autant. Il n'y avait qu'à voir l'état des dortoirs. C'est à peine si l'on peut dormir tranquillement dans cet endroit et les barreaux en guise de porte donnaient l'impression qu'on se retrouver en prison. Impression qui était bien évidemment voulue. Nulle ne voulait octroyer le luxe et le confort à des adolescents aux comportements difficiles. Le strict minimum leur était suffisant.
Aux alentours, la jeune demoiselle aperçut plusieurs pensionnaires qui avaient eux aussi préféré trouver refuge dans le jardin que de rester cloitré entre ces quatre murs insalubres qu'est l'intérieur du centre. Il lui arrive de se demander qui a bien pu construire un endroit de ce genre. Apparemment, la personne en question devait détesté les adolescents et pire, qu'ils ne tolérer le fait que ces jeunes étaient en marge de la société. Croit-elle réellement qu'il puisse y avoir assez de place dans Isolation pour accueillir tous les mômes du monde ou que de cette façon, il créera un monde utopique ? Je puis vous dire qu'Angie est bien plus saine d'esprit que ce guignol qui croit tout savoir sur tout et pouvoir se créer à lui seul un monde parfait. Elle secoua légèrement la tête en arrière afin de ne plus y penser et de concentrer son attention sur ce qui se passait enfin autour d'elle. Non loin de là où elle se trouvait, plusieurs groupes s'étaient formés, les uns plus petits que les autres, tandis que certain préféré avoir pour seule compagnie la solitude. Elle continua sa marche sans but précis, mais rien que pour le plaisir de marcher. Elle n'avait rien d'autre à faire de toute façon. Son iPod et son portable ne se trouvant plus en sa possession, elle devait faire avec les moyens du bord afin de se distraire afin que les journées ne semblent pas aussi longues. Sans s'y attendre une personne l'interpella, ce qui eu le don de la faire sursauté, mais elle se ressaisit au plus vite avant de détourner son regard à l'horizon et de le poser sur la jeune fille à ses côtés qui était assis à même le sol. Elle donner l'impression à Angie d'être une petite fille fragile, telle une poupée en porcelaine qui risquait de se briser à un simple faux pas. Et son accent la trahissait. Elle ne devait apparemment pas être Américaine, mais Angie ne put deviner son origine.
CATALIN ;: « Bonjour, je m'appelle Catalin. Veut tu venir t'asseoir avec moi? » ANGIE ;: « Bonjour Catalin, je suis ravie de te rencontrer. Tu as un joli prénom. » dit-elle à son interlocutrice avec une voix cristalline avant d'enchainer, un sourire aux lèvres, le premier depuis son arrivée en enfer. « Je m'appelle Angie. Et à la question de la jeune fille, Angie fit un oui de la tête avant d'ajouter. «J'aimerai bien et de plus cela me fera du bien de parler à quelqu'un. Je déteste déjà cet endroit. » Elle prit ensuite place a coté de Catalin, et s'assit en tailleur avant de fixer de nouveau la jeune fille.
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