Amadéo M. Gregarias
••• He begins to raise his VOICE
Nombre de messages : 63
Age : 32
Dedicaces à : Nous.
Humeur : Douce
• Photo d\'identité • : 
• Groupe • : The Persecutors
• Citation • : L'amour n'est pas l'amour s'il fanne lorsqu'il se trouve que son objet s'eloigne , quand la vie devient dure ,
que les chose changent , le vrai amour reste inchangé
• Musique favorite • : MILOW - Ayo Technology
• Relations • : Théodore; Brother | Jude; Fascinated | Elizabeth; Best | Tenessee; Complicated
Date d'inscription : 22/02/2009
|
 Sujet: Re: If I gave you my life || AMADEO  Ven 27 Fév - 14:29 |
|
|
 | PERDICAN : Adieu Camille, retourne à ton couvent, et lorsqu'on te fera ces récits hideux qui t'ont empoisonnée, réponds ce que je vais te dire : Tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux ou lâches, méprisables et sensuels ; toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées ; le monde n'est qu'un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange ; mais il y a au monde une chose sainte et sublime, c'est l'union de deux de ces êtres si imparfaits et si affreux. On est souvent trompés en amour, souvent blessés et souvent malheureux ; mais on aime, et quand on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière, et on se dit : «J'ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois, mais j'ai aimé. C'est moi qui ai vécu, et non pas un être factice créé par mon orgueil et mon ennui.» MUSSET |
AMADEO MATHIS GREGARIAS Ce qui te fait mal te rend plus fort.  | Digging a hole and the walls are caving in
Behind me air's getting thin but I'm trying
I'm breathing in
Come find me
It hasn't felt like this before
It hasn't felt like home before you
And I know it's easy to say but it's harder to feel
This way
And I miss you more than I should
Than I thought I could
Can't get my mind off of you
I know you're scared that I'll soon be over it
That's part of it all
Part of the beauty of falling in love with you is the fear you won't fall |
CHAPITER ONE – I’ve been there before, don’t look away anymore.
« - Bravo encore, mon chère Théodore.
- ais, ce n’est que mon devoir, père. Après tout, ce n’est que mon devoir, tout comme l’a été le votre et celui de votre père, aussi.
- Quel fierté, fils ! Regardes, Amadéo, regardes un peu quel exemple tu dois suivre !
- Je sais père, vous ne cesser de le répéter.
- Un jour, tu deviendras comme lui, j’en suis certain, dit le père en souriant gentiment.»
Amadéo regarda son père et son frère à la fois, comme déçu par leur comportement. Comment osaient-ils agir comme cela ? Prendre plaisir à l’inconsciente violence qu’ils provoquaient. Comment arrivaient-ils à jouir des vies humaines qui continuaient à trépasser sous leurs pieds ? Comment pouvaient-ils aimer le malheur qu’ils apportaient, au village ? Une grande déception se fit sentir dans le cœur tendre du jeune homme. Etait-il donc le seul humain dans cette prestigieuse famille ? Il le pensait réellement, face à l’atrocité qu’impliquait sa famille. Certes, être l’un des fils de la famille Gregarias, de la puissante famille Gregarias, c’était une fierté, une renommé que personne ne pouvait contredire. Oui, elle était à Salem depuis des siècles maintenant et grandissait dans l’estime des gens. Un profond respect s’établissait dès lors que le nom Gregarias était prononcé. C’était la famille admirée mais aussi redoutée…
Le jeune homme baissa légèrement les yeux devant le sourire grandiose de son frère Théodore, une grand jeune homme, blond avec des yeux bleu ciel, un puissant homme. Sa fierté pouvait abaisser n’importe quel être vivant dans les parages. Il été né ainsi, et cela s’était empiré en grandissant. En effet, bien que ses parents ne l’avouaient jamais, l’aîné était le fils prodige, l’héritier de la fortune des Gregarias, celui qui prolongera leur réputation et la grandeur de cette famille. Malheureusement pour Amadéo, il n’était que le cadet, celui qui passe toujours en second, principalement placé en retrait. C’était lui, le fils qui obéissait et ne donnait son avis. C’était lui qui était rabaissé dès que son frère réussissait son but, chose qu’il faisait continuellement. Une situation était peine à voir, mais aucune haine ne pouvait sortir du brave cœur du jeune homme envers son aîné. Absurde ? Oui, c’est ce que lui dit si souvent Elizabeth, sa meilleure amie, mais aussi la fiancée de Théodore. Et bien qu’elle ne puisse lutter contre lui, la jeune femme essaye tant bien que mal d’encourager Amadéo à s’affirmer. Néanmoins, il n’y arrive pas. Depuis son enfance cela a toujours été ainsi, et rien ne pourrait changé. Le jeune homme aime sa famille, après tout c’est ses parents qui lui ont donné la vie ; ils sont sa vie, son appartenance à cette ville. Et bien que l’envie de lever le poing grandisse chaque jour, son caractère ne le lui permet. Sage et tendre, il n’élève jamais la voix trouvant généralement cela trop puéril. Sa devise se résume à ne jamais revenir sur sa parole, lorsqu’il fait une promesse il l’a tien jusqu’au bout et ceux malgré les inconvénients. Mais ce qui le rend prisonnier de son sort c’est sa fidélité envers les personnes qu’ils aiment, et en ce cas, il ne pourrait trahir son devoir que ses parents lui demandent. Enfin si cela pouvait être beaucoup plus facile, parce que les Gregarias sont réputés pour leur persévérance à démasquer et à traquer les sorciers, qui se trouvent dans leur ville. En effet, tous pensent, depuis des générations, qu’ils ne sont que des envoyés de Lucifer pour détruire la Terre, et c’est pour cela qu’ils doivent tous les exterminer. Mais étant humain, beaucoup à son goût, Amadéo ne peut les chasser et aider sa famille. Comment tuer un être humain, un être qui partage les mêmes sentiments, construit sur le même schéma ? Comment ôter la vie à l’un de vos semblables ? Il ne peut concevoir cette idée et cela le partage fortement entre ses devoirs et ses sentiments.
C’est en étant toujours perdu dans ses pensées qu’Amadéo fût réveillé par la voix de son paternel
« - Très bien, maintenant si vous pouvez me laisser, j’ai à faire.- Bien père, répondirent en cœur les frères. »
Tournant des talons, ils sortirent du vaste bureau de leur père, décoré avec soin. Et arrivant dans l’un des couloirs principaux de la demeure, ils se dirigèrent vers le salon.
« - Pourquoi faites-vous cela ? osa demander le cadet, en rompant le silence qui pesait.
- Cela ?
- Oui, les tuer, les massacrer jusqu’aux derniers. Après tout, ils sont comme nous.
- Ils prennent l’apparence d’un être humain, mais au fond d’eux ce ne sont que traîtrise et malédiction.
- En as-tu au moins été témoin ou crois-tu seulement les rumeurs qui courent ?
- Ecoutes Amadéo, dit l’aîné en s’arrêtant net. Je sais ce que tu penses de notre famille, mais malheureusement tu en fais parti, ainsi tu devrais suivre mon exemple et t’approprier ta propre place au sein des Gregarias au lieu d’avoir de la pitié envers ses démons ! »
Le jeune homme baissa les yeux, comme touché par ce qu’il venait de dire. La vérité ? Il n’en savait pas trop, mais un jour on lui a dit qu’il devait suivre ce que lui dictait son cœur, le cœur qui à présent est complètement emprisonné…
CHAPITER TWO – I always wanted to be the one you looked to...
« - Enfin te voilà, Amadéo !
- Oui, je suis là, excusez moi du retard.
- Ce n’est pas grave, mais dépêche toi, les clients ne cessent d’arriver »
Amadéo se précipita à l’arrière de la grande salle pour y déposer ses affaires et se mettre à l’aise et aussi rapidement y retourna, pour occuper son poste. Il travaillait depuis peu à la Taverne, un petit endroit très réputé pour son calme et sa convivialité afin de se rencontrer entre amis autour d’un verre. Ayant postulé pour le poste de barmaids, il avait tout de suite était pris. Pour son nom ou pour sa personnalité ? Le jeune homme ne savait pas, mais quoi qu’il en soit, il adorait cette endroit, pouvant enfin montrer sa vraie personnalité. Les seuls moment où l’envie de s’évader venait lorsqu’il était devant son piano, en pratiquant depuis tout petit, lorsqu’il s’aventurer dans la foret vide ou bien lorsqu’il était ici, derrière son comptoir à parler avec les clients de tout et de rien. Certes la plupart le connaissaient, mais peu importe ! S’installant, il fût huer par un client :
« - Hey, Amadéo, une de tes spécialités, s’il te plait.
- Tout de suite, Henry »
C’était un habitué, sans doute, et ce qu’ils appréciaient était les spécialités d’Amadéo, chaque jour une nouveauté qui faisait des ravages. Il savait comment harmoniser l’alcool et la douceur, l’exotisme des fruits. Le patron était assez fier de lui, et cela se comprenait. Puis sa tournée vint, il enchaînait les mélanges, les verres avec une aisance que en surprenait plus d’un, faisant parfois quelques acrobaties avec les bouteilles. Seulement, trop occupé à s’amuser, Amadéo n’avait pas vu qui était rentré, un groupe de filles, trois pas plus. A ce niveau-là, du moins amoureux, le jeune homme était dans le calme plein, son frère ne lui cessait de lui dire qu’il pouvait prendre l’une de ses courtisanes, mais aucunes ne lui plaisait. Ne trouvant sa perle rare, il s’était résigner à chercher, pensant qu’un jour, elle allait apparaître au milieu de sa vie. Et ce fut ce moment, que sur le coup, Amadéo n’eut pas conscience.
Ses yeux se levèrent et, d’un sourire, parcourut la salle juste pour apprécier le monde. Son regard s’arrêta net, fixant une seule et unique personne. Une jeune femme, les yeux noisette, les cheveux bruns aux reflets cuivrés, un sourire merveilleux…Arrêtant de sourire bêtement, Amadéo la dévisagea, ne pouvant dévier son regard, tandis que la jeune femme regardait dans sa direction. Son cœur fit un bond, battant à une allure si rapide que le jeune homme essaya de respirer profondément pour le calmer. Le temps semblait s’être arrêter, les personnes s’étaient tues, et il ne restait qu’eux. A ce moment là, ils échangèrent un simple sourire, et Amadéo su que c’était ELLE, celle qui cherchait depuis si longtemps. La brunette fût la première a détourner le regard pour s’asseoir, remettant les pendules à l’heure.
Dès lors, durant toute la durée où elle était là, Monsieur Gregarias ne pu cesser de la contempler, de la dévorer des yeux. Une chose naturelle, pour un coup de foudre non ?
Cela faisait déjà quelques jours qu’Amadéo n’avait pas revue la jeune femme et pourtant elle hantait hardiment ses pensées. Il n’arrivait pas à dormir, du moins, sans la voir dans ses rêves, il ne pouvait rester éveiller sans avoir une hallucination. Tout cette situation lui paru assez pénible. Allongé dans son lit, le jeune homme en eut assez de son subconscient et essaya de trouver une solution. Mieux valait succomber à la tentation de ne rien faire. D’un geste rapide, il se leva et s’habilla rapidement. Il devait aller faire un tour. Sortant de sa chambre doucement, il descendit et se dirigea vers la porte d’entrée lorsqu’il fût démasqué.
« - Amadéo ? Qu’est fais-tu debout à cette heure-ci?
- Je n’arrive pas à dormir, mère. Retournes de coucher, je vais faire un tour.
- Ne te perds pas en route !
- Promis, dit il en l’embrassant sur le front. »
Ouvrant la porte, il regarda sa mère monter les escaliers pour retourner au lit, puis s’engouffra dans la pénombre de la nuit.
Marchant quelques minutes, ses pensées défilant, il arriva devant la foret. La première question qui hantait dans sa tête était comment la retrouver. Après tout, il ne connaissait ni son nom, de ce fait, ni sa famille, ni son habitat. Espérant la revoir à la Taverne, elle ne vint pas. Ne connaissant ses endroits fétiches, le jeune Gregarias pouvait toujours la chercher dans tous les endroits de la ville, cela n’aurait servis à rien. Comment se faisait-il qu’il ne l’avait jamais vu ici, à Salem les années précédentes ?
Avançant dans le noir, seul la lune éclairer ses pieds de façon à regarder où il mettait les pieds, pour ne pas tomber. S’enfonçant un peu plus, il réfléchissait à sa stratégie, lorsque soudain, il entendit un bruit, non des bruits, réguliers apparemment. Quelqu’un d’autre était en ces lieux à cette heure-ci. Intrigué et curieux, Amadéo se dirigea vers l’endroit où les bruits provenaient. S’arrêtant à quelques mètres d’une petite clairière, il attendit. Personne à l’horizon, il avait sans doute rêver. Désapprouvant de la tête, il se retourna lorsqu’il entendit un autre bruit. Aussitôt, il se retourna, mais ne vit toujours personne. Ne comprenant rien, il hésita à avancer lorsqu’il vit tout. Une jolie silhouette, une silhouette qu’il cherchait tant depuis quelques jours. Avec la lune, elle paraissait encore plus magnifique, plus somptueuse. Mais, mystérieuse…En effet, sans comprendre comment elle faisait, la jeune femme apparaissait et disparaissait régulièrement. Et puis, Amadéo se prit une énorme claque sur sa figure ; elle n’était autre qu’une sorcière, une ennemie de sa famille, il ne pouvait tomber amoureux d’elle. Regardant autour de lui, il recula en essayant de faire le moins de bruit possible jusqu’à être assez loin pour courir. Rentrant chez lui rapidement, il s’enferma dans sa chambre, comme assurer et pourtant…il avait l’impression que son cœur était rester la bas, dans la foret, avec elle…
CHAPITER THREE – I must write my story now...
|
|
Accueil 
Dernières images 
